Plus sain le régime bio?
À partir du 04/01/2014
Une grande enquête débutée en 2009 observe les liens entre nutrition et santé.
Les premiers résultats de l'enquête NutriNet-santé, lancée en mai 2009 par l'équipe du professeur Hercberg sont encourageants.
En effet, ces derniers montrent que les consommateurs réguliers de produits biologiques ont "globalement un profil plus en accord avec le concept d'alimentation durable et plus bénéfique pour la santé". Ils ont "un niveau plus élevé d'éducation, sont physiquement plus actifs" et ont "des revenus comparables" à la plupart des consommateurs non bio (excepté ceux ne mangeant pas du tout de bio parce qu'ils le juge trop cher).
Selon NutriNet, leurs choix alimentaires tendent plus vers des produits végétaux et peu raffinés: plus de fruits et de légumes, de légumes secs, de fruits à coques, d'huiles végétales, de céréales complètes.
En revanche, ils boivent moins de lait, de boissons sucrées ou alcoolisées, mangent moins de charcuterie et fréquentent moins les fast-food.
Leur alimentation globale est ainsi plus proche des recommandations du plan national nutrition santé.
Les apports caloriques moyens quotidiens sont identiques à ceux des non-consommateurs de produits bio, mais leurs apports sont plus élevés en vitamines et minéraux (+10 à 20%), acides gras omégas 3 (+20%) et fibres (+27%).
Enfin, ils ont une moindre probabilité d'être en surpoids ou obèses.
Les effets à long terme de ce type d'alimentation sur l'état nutritionnel et le risque ou la protection de maladies chroniques seront étuduiées plsu en détail dans les prochaines années, l'enquête devant durer encore au moins cinq ans.
Déjà plus de 245 000 volontaires ont accepté de répondre en ligne aux questionnaires annuels de NutriNet-santé, dont l'objectif est de suivre 500 000 personnes pendant au moins cinq ans.
www.etude-nutrinet-sante.fr
Allez-y, on vous y attends!
En effet, ces derniers montrent que les consommateurs réguliers de produits biologiques ont "globalement un profil plus en accord avec le concept d'alimentation durable et plus bénéfique pour la santé". Ils ont "un niveau plus élevé d'éducation, sont physiquement plus actifs" et ont "des revenus comparables" à la plupart des consommateurs non bio (excepté ceux ne mangeant pas du tout de bio parce qu'ils le juge trop cher).
Selon NutriNet, leurs choix alimentaires tendent plus vers des produits végétaux et peu raffinés: plus de fruits et de légumes, de légumes secs, de fruits à coques, d'huiles végétales, de céréales complètes.
En revanche, ils boivent moins de lait, de boissons sucrées ou alcoolisées, mangent moins de charcuterie et fréquentent moins les fast-food.
Leur alimentation globale est ainsi plus proche des recommandations du plan national nutrition santé.
Les apports caloriques moyens quotidiens sont identiques à ceux des non-consommateurs de produits bio, mais leurs apports sont plus élevés en vitamines et minéraux (+10 à 20%), acides gras omégas 3 (+20%) et fibres (+27%).
Enfin, ils ont une moindre probabilité d'être en surpoids ou obèses.
Les effets à long terme de ce type d'alimentation sur l'état nutritionnel et le risque ou la protection de maladies chroniques seront étuduiées plsu en détail dans les prochaines années, l'enquête devant durer encore au moins cinq ans.
Déjà plus de 245 000 volontaires ont accepté de répondre en ligne aux questionnaires annuels de NutriNet-santé, dont l'objectif est de suivre 500 000 personnes pendant au moins cinq ans.
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